DESOBEISSANCE GASTRONOMIQUE

Les donateurs se reconnaîtront
Les donateurs se reconnaîtront

 

 

 

 

 

 

La "carte cochonne" contenait quelques lignes :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles:

"Homme vers toi je pousse, ô cher déshérité,

Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles,

Un chant plein de lumière et de fraternité! 

Je sais combien il faut, sur la colline en flamme,

De peine, de sueur et de soleil cuisant

Pour engendrer ma vie et pour me donner l'âme;

Mais je ne serai pas ingrat ni malfaisant (...)"

 

Merci Justine! 

 

Je n'aime pas Kouchner, il fait honte à Serge July, à Dany le Rouge et à tout Mai '68. C'est lui qui a abondamment parlé du "droit d'ingérence " inventé par Revel. Mais j'aime le droit d'ingestion, par contre. Surtout quand, comme ici, il est le fruit d'une autre désobéissance: pas la désobéissance civique, mais bien la désobéissance gastronomique.

 

En effet, beaucoup des invités à ma semaine d'anniversaire ont désobéi et m'ont apporté plein de choses, comestibles pour la plupart. Après "L'âme du vin" de l'immortel Baudelaire on reconnaîtra celle de la canne à sucre et du cacaotier entre les mains de Lionel Mandirac à Capestang et des chocolatiers wavriens ou bruxellois.

 

Merci mes amis: Wirsung et Hering se joignent à Riquet

pour glorifier tous les canaux concernés.

 

 

 

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