NOUS PARTÎMES BIEN APRES QUINZE HEURES, MAIS PAR UN VIF EFFORT ...

La Loute en visite à la "Maison du Parc"
La Loute en visite à la "Maison du Parc"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 .... nous étions pile à l'heure

en arrivant à bon port.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'histoire commence quelque part au bord de la Mer Egée. C'est Artaxerxès qui détient le rectorat de l'académie mais le proviseur n'envisage aucune rebellion et on lui laisse le bénéfice de sa charge. On sait peu de choses sur ses années de jeunesse mais il se murmure qu'il aurait connu Bordeneuve et Berthoin, puis Boulloche, Debré et Joxe. Un doute subsiste pour les années suivantes, mais on le retrouve aux côtés de Haby, Beuillac et Savary, et ensuite Chevènement et Monory. Suivent Jospin, Lang et Bayrou ... Allègre, Ferry, Fillon etc ... Quelle longue liste de faux-culs! 

 

Enfin, c'est au bord du Salat qu'il finit par créer ce qu'il convient encore et toujours de considérer comme une des 7 merveilles du monde: le Caujollée de Lacave

 

Ma fille et moi l'y avons rencontré, notre Michel, pour un petit coucou furtif. Je croyais y trouver, outre Gisèle, également sa fille Lisa, mais c'est dans la lointaine Ibérie qu'elle passe ses vacances. Il faut vous dire qu'on est ici en pays d'amateurs de vieux carignan. Les présentations une fois faites, on nous a très aimablement gardés pour manger - ce qui n'a pas exactement la même signification que "gardé à manger" - et ce n'est que sur le coup de trois heures bien frappées que le vieux Mazda a pris la route de la grotte de Niaux, destination que j'avais tenue secrète à Virginie.

 

Vous avez lu ICI que la veille au soir nous retrouvait attablés chez le talentueux Pao Magny, chef à Lorp-Sentaraille. Il se fait que Michel eut le difficile privilège de compter le jeune Pao parmi ses élèves, alors qu'il présidait aux destinées du collège professionnel où notre cuistot faisait son école hôtelière avant d'aller s'affirmer chez les stars du poêlon et de la lèche-frites. Notre gaillard était fort "vivant" et sensible à manier! Il le confirme lui-même de bonne grâce et avec un large sourire, ajoutant même: "Je n'ai pas trop changé". J'ai fait dimanche la connaissance de sa maman: vous avez dû en voir, Madame! 

 

Merci encore, Michel et Gisèle, de votre gentillesse: à bientôt.

 

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