DERNIER COUP DE REIN CHEZ LES MERENS, ON DETELE

La Loute chez Christine et Jean-Louis
La Loute chez Christine et Jean-Louis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous savez que

nous avons nos habitudes

en matière d'étape.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vous ai déjà abondamment parlé de Michel et Evelyne au Boüet en Aubrac, de Michel et Gisèle dans le Couserans, de Michel et de sa femme la randonneuse dans le Luberon ... Cette fois, c'est chez Christine et Jean-Louis que j'ai dételé les turbo-chevaux de mon fidèle pick-up, au-dessus de Saint-Girons, après avoir passé deux fois le Volp, le cours d'eau local.

 

Ces deux-là ont* beaucoup bourlingué, si mon souvenir est exact, et ont même vécu sur une péniche amarrée en bord de Seine (ou ailleurs). Ils gèrent depuis une vingtaine d'années un élevage de chevaux Mérens dans le village de Lasserre (Ariège). Pour le moment, le troupeau, fort d'une soixantaine de têtes si j'ai bien compris, est à l'estive. Je ne désespère pas de convaincre mon frère, cavalier émérite devant l'Eternel, de m'accompagner pendant la transhumance de leur horde. Moi, cela fait bien longtemps que je n'ai plus monté, après des problèmes de dos en 1988 et ensuite en 1990. Comme cette colonne me fiche la paix, la selle me démange à nouveau. Mais j'ai surtout peur d'être ridicule au montoir: raide, raide, raide. Thierry, lui, est encore une fois en Islande pour le moment, parcourant je ne sais quel fjord, quelle grêve, quel piémont volcanique.

 

Au Haras Picard du Sant, on fait aussi son propre jus de pomme bio et on aime le vin de qualité. Les propriétaires connaissent également les bonnes tables de la région. Il y a quatre  ans, nous avions fait halte ici au moment des journées du Mérens qui se tiennent en août dans la plaine près de Tarascon (me semble-t-il). On nous avait d'abord logés dans le gîte situé de l'autre côté du chemin, avec de curieuses terrasses à claire-voie, puis dans le corps de bâtiment principal qui dispose de chambres très individualisées, ornées dans le style "campagnard de bon goût" avec un rien de décalé. 

 

Ce genre d'habitat, haut sur la colline, présente l'avantage  de la tranquilité, d'une jolie vue sur les Pyrénées et de la proximité citadine. On est à Saint-Girons en dix minutes. En même temps, les portes ne disposent pas de serrure ...

 

On m'a parlé d'un club d'amateurs de vin saint-gironnais ...

pitête que je devrais me renseigner plus avant.

 

 

 *: le "t" final manquait mais l'attention de mon ami Alain Mertens m'a permis de rectifier. Il possède

     une bonne orthographe ... pour un homme de marketing! 

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