DEVANT LA MAISON ROUGE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En contrebas 

de la rue

François Rabelais

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai mis pour la première fois les pieds au Park Hotel en compagnie de feu André Parcé (Domaine du Mas Blanc). Il m'y a plusieurs fois convié du temps de la splendeur du Chapon Fin, où officiait entre autres un pâtissier délégué tout exprès par Joël Robuchon. Ensuite, lors d'un long séjour "en voyage de presse " pour le compte d'In Vino Veritas, le CIVR m'avait aimablement alloué une spacieuse chambre avec lit à baldaquin aux piliers d'angle torsadés,  au dernier étage de cet hôtel.

 

Hélas, sic transit gloria mundi, un groupe espagnol a racheté le bâtiment et eut tôt fait de supprimer ce restaurant gastronomique, pas assez rentable vraisemblablement.

 

Néanmoins, si on s'engage vers l'arrière de la rue, quittant les petits squares le long de l'avenue Bourrat, on trouve les escaliers immuables qui grimpent vers le quartier Saint-Jacques (voir ma photo). En haut de la dernière volée, s'appuyant sur les anciens remparts de l'enceinte externe de la ville médiévale, se dresse à présent la Maison Rouge.

 

Elle fut construite en 1920 par Raoul Castan, à la demande de Louis Bausil, l'impressionniste ami de Maillol et deTerrus.

 

Actuellement, le bâtiment a été totalement restauré et modernisé. Il abrite un restaurant et des espaces de rencontre. Je n'ai pas encore découvert l'intérieur.

 

On vous raconrera tout cela une fois que ce sera fait.

 

 

"Elle, devant la Maison Rouge

Devant ces chambres rouges

Elle passe l'hiver à écouter 

Cette symphonie

Qui était si belle

Et qui nous rappelle

Qu'on est à Perpi ... "