CAPESTANG: DE 16 A 86 ANS

Quatre Civale pour une Dehaze
Quatre Civale pour une Dehaze

 

 

 

 

 

Une photo de famille

... incomplète

 

 

 

 

 

 

 

Au printemps 2014, je vous avais conté la rencontre de ma mère et de la famille de "l'autre Thierry", pas mon frère, mais celui de Christine. Nous les avions convié à bord de notre péniche, au mouillage non loin du pont de Capestang, sur le canal du Midi.

 

Ce midi, justement, c'est non pas au bord de l'eau, mais le long d'un terrain de sport municipal de cette même Capestang, où Thierry a son domicile, que nous avons pris le déjeuner. Laissant ensuite la joyeuse petite bande à l'admiration des photos de famille - car, en société, Thierry sort plus ces dernières que les bijoux du même nom - j'en ai profité pour faire un sort au D N°4 que j'avais acheté à Rodez au mois d'octobre (en étui, tubo), lors de notre escapade aveyronnaise au moment de mon anniversaire.

 

Après, la bouche encore emplie des effluves capiteux venus en droite ligne de Pilar del Rio, j'ai sorti la boîte à pixels. 

 

Allez: polo bleu foncé, lorgnon sur le nez, c'est le frérot à Christine, Thierry Civale. Excellent mécanicien de formation, il n'aime pas plonger continuellement dans le cambouis et fait l'international pour une société de transport en citernes. Accessoirement, il râle avec verve sur sa femme, sa fille cadette, sa soeur, les Juifs, les Arabes, les Blancs, les Noirs, les Espagnols, les cathos et les francs-maçons. Qui ai-je oublié? Sinon, il a beaucoup d'humour et est d'un naturel enjoué. Nous nous entendons très bien.

 

Au cou de son petit papa, qu'elle ne voit que le week-end, c'est notre Juju, Justine Civale. Elle est bien entendu encore au lycée mais voudrait devenir éditrice de bouquins. Elle a la passion des ouvrages et de la lecture. Elle a aussi la passion des beaux mecs, surtout s'ils sont "trop" (je cite). Et elle parle plus que décemment l'anglais, avec un accent impeccable. Oh, ce n'est pas l'école de la république qui le lui a appris - cela se saurait - mais bien l'écoute assidue de Michael Jackson (sic). Elle possède des yeux à la François Cévert.

 

De l'autre côté de l'image, se foutant toutes les trois de moi - soit mon ventre dépasse par-dessus la ceinture, soit c'est autre chose plus bas, mais elles ont l'attention attirée - on reconnaît à l'extrême droite sur la photo Paquita Sanchez Ortiz, épouse Civale, également connue comme "Françoise". Elle fait partie des soignants à l'hôpital de Béziers et, c'est sans doute lié, confiera bientôt sa charnière lombo-sacrée à l'orthopédiste car, à force de soulever des malades .... On est de tout coeur avec elle. A côté d'elle, la vioque de ce blog se demande pourquoi elle a pondu cela il y a presque 60 ans. Et, debout, c'est la soeur de Thierry, Christine Civale, également considérée par la loi comme la belle-soeur de Paqui et, forcément, la "tita" ou "tati" de Justine.

 

Il faisait jour blanc à Capestang mais pas froid du tout.

Le photographe est en bras de chemise.

A présent (21 h 30'), il vous souhaite "bona nuèit".

 

 

 

Write a comment

Comments: 0