JE N'IRAI PAS NON PLUS P...LEURER SUR LEUR TOMBE

Mon cul, oui !
Mon cul, oui !

 

 

 

 

 

 

Deux "faits divers"

m'ont mis de 

mauvaise humeur

de grand matin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un reportage concernant les hommages rendus à l'ancien président F. Mitterrand, décédé il y a 20 ans.

Une intervention de Renaud Séchan annonçant un nouvel album et son retour sur scène.

 

Je ne me réjouis jamais de la déchéance des gens et je respecte qu'on honore, pour la famille, la mémoire des disparus.

Mais entendre Jack Lang affirmer que l'actuel François de l'Elysée s'était "mitterrandisé" en l'espace de vingt années, et puis apprendre que c'est Mlle Pingeot qui a accueilli M. Hollande sur la tombe de son père, de ce père qui l'a cachée honteusement durant tant d'années, cela dépasse l'entendement.

 

Ce même père nous avait remplis d'espoir en amenant au pouvoir - comme dans plein d'autres pays européens - un gouvernement porteur de valeurs progressistes, basé sur une plate-forme commune, le "programme commun de la gauche", signé en 1972 et qui fut définitivement cocufié dès 1983, même pas deux ans après le début de sa mise en application. Il en reste une réforme formidable, mais est elle est l'oeuvre de M. Badinter: l'abolition de la peine de mort. Pour le reste ....

 

Et le même Renaud - je suis allé l'applaudir plusieurs fois - nous a fait vibrer aves ses sociétés qui ne nous aura pas, avec la môme du huitième, avec la mob' de Gérard Lambert ... Jusqu'à ce qu'on découvre - assez vite en ce qui me concerne - la duplicité du personnage: faux fils du peuple, faux accent, faux romantique, vrai faussaire.

 

Il reste toutefois "Morgane de toi", "Mistral Gagnant", qui ne sont pas des contest songs et puis, un peu, "Manhattan-Kaboul" car ma fille Virginie la chante si bien.

 

Pour le reste ... Séchan, tu ne m'auras pas / plus.

 

 

 

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Comments: 1
  • #1

    Ph. Thysebaert (Wednesday, 13 January 2016 18:22)

    ... Ah, vieillir, entre idéalisme et réalisme, la vie est dure, surtout pour un vigneron qui pense...
    Sans rancune, j'espère.