VBR #2: APRES LES LAMPIONS DU BAL

Lundi matin, 9 h55' ....
Lundi matin, 9 h55' ....





Ce n'était pas PARFAIT,

Patrick,

mais ce fut absolument

FANTASTIQUE.






J'ai passé un des meilleurs week-ends de ma vie (grosses caresses pour l'amour propre), mais aussi un des plus fatigants. Extinction de voix totale en fin d'après-midi, les deux jours. On vous explique.


Tout commence jeudi dernier: départ de La Franqui, la base avancée du domaine, vers 7 h 30', avec un pick-up très peu chargé et bien bâché. Il était 23 heures lorsque je suis arrivé à Coxyde, sans un seul contrôle policier rapproché. J'avais oublié, dans ma hâte, d'emporter la preuve de mon assurance (la fameuse "carte verte") et la vignette qu'on appose sur le pare-brise expirait le 17 novembre. Mais cela n'a pas porté à conséquence.


Le vendredi matin - on vous montrera des photos - le littoral belge faisait grise mine, mais les "pistolets" (petits pains belges légers et savoureux) m'ont rassasié avant la promenade sur la digue . Le soir-même; je pouvais accoler une vignette mise à jour d'une qualité inégalée: la Patou de ce blog me l'avait imprimée sur un machine hi-tech de luxe après un mail en provenance de Christine. Les réseaux, il n'y a que cela de vrai. 


Le repas chez l'inénarrable Dirk Myny fut excellent - as expected - et je reviendrai sur ses circonstances aussi.


Enfin la journée du samedi et celle de dimanche me laisseront un souvenir éternel. Vous en saurez plus dans les jours qui viennent. Le vrai but de ce billet de blog est de dire un ENORME MERCI à notre gentil organisateur, Patrick Böttcher. J'ai vu ma ville comme jamais auparavant: du keuf jouant aux cowboys et des trios de soldats-adolescents arpentant les rues au hasard, se demandant ce qu'ils foutaient-là. Pour Patrick, déjà bien affairé à gérer le déroulement habituel d'un salon normal en plein essor, il a fallu qu'il compose par-dessus le marché avec les exigences sécuritaires des forces de l'ordre. Et il a su le faire.


Chapeau, le Böttcher:

"M'sieur l'pharmacien, m'sieur l'pharmacien,

tu ne t'es pas cassé la gueule  dans tes bocaux ..." 


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