SIGURDARDOTTIR: FAUT LE DIRE 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A l'heure où mère et frère s'envolent de Keflavik, 

ou presque, je termine la lecture de cette nouvelle

sortie de la plume de Steinunn Sigurdardottir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette écrivain(e) islandaise née en 1950 porte le même patronyme que l'ex-Premier Ministre de son pays. Et alors?

 

Elle a fait des études de psychologie et de philosophie ( ça s'apprend?) à Dublin, puis a travaillé pour la télévision et la radio, vivant le plus souvent à l'étranger, et notamment Paris ou Berlin. Pas banal comme parcours.

 

Pas banal non plus son récit, en trois parties et en remontant le temps: elle se fait défoncer (tendrement) par un vendeur de paravents, elle nous raconte son amour de jeunesse, elle décrit son mari et l'alcoolisme de celui-ci pour terminer.

 

Tout va très vite - enfin, le récit - et la traduction est vivante, alerte et sans faille. Je crois même que c'est ce livre qui m'a rappelé que "délices" est féminin au pluriel ! 

 

J'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture, qui m'incite à rechercher d'autres titres de Steinunn.

 

 

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